Pour fêter Raymond Queneau, l'OuLiPo (Ouvroir de littérature potentielle) lui a emprunté dix mots, tirés des titres de ses oeuvres, et imaginé quelques variations et jeux sous contrainte à partir de ces mots. L'Oulipo devait bien ça au poète qui fut son créateur et son constant inspirateur.
En une soixantaine de textes ludiques, les Oulipiens d'aujourd'hui se livrent à leurs exercices favoris. Car, comme le disait Queneau,
« les mots, il suffit qu'on les aime / pour écrire un poème ».