Les poldèves sont nombreux, mais ils sont difficiles à distinguer _ surtout pour les enfants _ des quidams et des énergumènes. En nous présentant les plus célèbres d'entre eux, les peintres Gilles Aillaud et Eduardo Arroyo, le romancier Gérard Mordillat, nous offrent la première étude détaillée de cette diaspora. On nous demandera: pourquoi présenter soixante-quatorze poldèves?
Pourquoi ce nombre? La réponse est simple: il faut bien soixante-quatorze poldèves pour faire un pékin.