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Dans un pays d'Afrique du Nord, l'hôtel de transit d'un aéroport international. Une étrangère, Frieda S., s'y présente un jour, à la recherche d'un emploi. Elle est aussitôt engagée. Le commandant de bord d'un long courrier, Iann Koski, séjourne dans le même hôtel, à chacune de ses escales.

Une liaison se noue entre eux, violente, d'un érotisme qu'accroît la brièveté de leurs rencontres. La froide énergie, la brutalité de la femme et le mystère qui l'entourent troublent peu à peu le commandant.

Qui est Frieda S.?

Lorsque Iann Koski découvre sa véritable identité et son origine, il est déjà trop tard. Car rien n'effacera jamais ce que Frieda S. a vécu, là-bas. Sinon la mort.

Sur l'ensemble de l'oeuvre:

" ... l'on découvrira que son oeuvre occupe une place entière aux côtés de celles des romanciers de l'étrange. "
René Wintzen
(Littérature de notre temps)

A propos de La Chair et l'Ombre (1963):
" Non sur la Carte du Tendre mais du Cruel, entre Eros et Némésis. C'est une position forte, d'où la vue porte très loin et Pierre Silvain l'occupe en véritable écrivain. "
Robert Kanters (le Figaro littéraire)

A propos de La Dame d'Elché (1965):

" Pierre Silvain tient une des meilleures plumes de sa génération... Une imagination originale, qui passe naturellement au mythe, et une prose serrée, sobre et pure... "
Pierre-Henri Simon (le Monde)

A propos de Le Grand Théâtre (1973):

" Pierre Silvain joue son oeuvre sur ces confins où la parole et le silence échangent leurs dons, où toutes choses s'usent et renaissent, finissent et recommencent d'un même mouvement. "
Georges Anex (Journal de Genève)

A propos de Les espaces brûlés (1978):

" Il faut lire ce très beau livre, issu d'une espèce de plus en plus rare où l'écrivain et son charme soutiennent à eux seuls le propos. "
Jean Freustié (le Nouvel Observateur)

A propos de Une douleur d'amour (1983):

" Ce n'est pas " l'histoire ", c'est la texture qui distingue cette oeuvre d'une qualité rare, c'est notamment l'emploi subtil du détail, partie pour créer une présence réelle, partie pour semer des indices. C'est son écriture que Pierre Silvain donne au futur. "
Jean-Jacques Mayoux
(la Quinzaine littéraire)