Sans en exagérer la tristesse, il y a dans Gare Saint-Lazare une teinte légère de crépuscule, balancée par une sorte de nonchalance mélancolique parfois singulièrement gaie, comme un sourire du style, la merveille de l’écriture au service de la vie.
La mécanique qu’il met en place, soutenue par un humour décapant, des citations de Simone de Beauvoir et l’invention d’un meurtre, est irrésistible. Coup de coeur du printemps.
Une pure merveille.