
L'île de Jacob
Le Monde des livres
Dorothée Janin parvient à charger ses courtes phrases d’images frappantes, de sensations précises, de rêveries et, même, de pointes d’humour.
Libération
Finalement, le plus émouvant dans la vie, c’est l’adolescence décrite sous la plume de Dorothée Janin, animée par un pessimisme cynique, douloureux, mais nécessaire.
Le Figaro Magazine
Le plus beau dans L’Île de Jacob est sa densité. Dorothée Janin n’écrit pas, elle sculpte.
Stylist
Moitié roman coming of age, moitié parabole collapso, « L’île de Jacob » donne peu d’espoir mais beaucoup de force et de grâce.
Quinzaines
C’est avec une plume sublime, bouleversante, que Dorothée Janin déroule le drame à venir. Sensuelle, organique, ciselée à la manière des pierres précieuses. Une écriture unique qui ne souffre pas de comparaisons.
Transfuge
« L’île de Jacob » touche par la capacité d’émerveillement – associée à son inséparable envers : le sentiment de la dissolution de toutes choses - dont témoigne son auteur, que ce soit devant la beauté d’un être ou celle d’un paysage.