
Muse de Jonathan Galassi dans la presse
À l'occasion de la rentrée littéraire 2016, découvrez les dessous du monde de l'édition en lisant Muse de Jonathan Galassi, en librairie le 31 août. Président des prestigieuses éditions Farrar, Straus & Giroux, Jonathan Galassi y raconte avec brio la passion d’un jeune éditeur, Paul Dukach pour la célèbre et mystérieuse poète Ida Perkins.
TELERAMA, Nathalie Crom, 15 septembre 2016
"L'édition est devenue une industrie."
VOGUE, Septembre 2016 :
"Un roman jubilatoire, doublé d'un magnifique portrait de femme."
TERRAFEMINA, 29 août :
"Muse est un roman flamboyant. Un hommage au monde littéraire nostalgique mais aussi piquant. Ménager les auteurs et leurs egos, survivre à un milieu où les requins côtoient les hypocrites, où les rêveurs sont mis au ban... Lui-même président des éditions Farrar, Strauss & Giroux, Jonathan Galassi maîtrise parfaitement son sujet."
LIVRES HEBDO, 19 août 2016 :
"Le président de la prestigieuse maison américaine Farrar, Straus and Giroux signe, après quarante-trois ans de carrière, un premier roman à clé au coeur de l'édition littéraire new-yorkaise."
DES PAGES ET DES ILES, 30 août :
"Un ovni littéraire pour tous ceux qui rêvent de connaître le monde de l’édition."
BREVES LITTÉRAIRES, 29 août :
"Jonathan Galassi rend un bel hommage à ce monde de l’édition fascinant, élitiste, inaccessible."
CULTURELLEMENT VOTRE, 1er septembre :
"Muse apparaît donc comme une véritable réussite, qui devrait conquérir les amoureux de la littérature américaine des années 50 à 60. La connaissance de l’auteur, éditeur de métier, de ce milieu, associé à son amour sincère de la poésie se ressentent fortement dans ce roman à la passion communicative, méditation tour à tour nostalgique, tendre et grinçante sur ce qui fait l’essence de la grande littérature, celle qui transcende notre vision de l’amour, voire de l’existence, et s’inscrit en nous, nous permettant d’en saisir les différentes nuances au fil des lectures successives tout au long de notre vie. Un rapport si fort qu’il transcende même le support sur lequel l’oeuvre s’inscrit, bien que Jonathan Galassi soit, comme nous, un amoureux transi de l’objet livre, dont il regrette les belles éditions que l’on chérissait et qui tendent à se faire plus rares."
LE MONDE DES LIVRES , 8 septembre :
" Nostalgie, tendresse, ironie, mordant : le roman est comme la "biographie" d'une profession tout entière, une radiographie de l'édition au tournant du XXIe siècle. "
France Culure, La Grande Table de l'été, 18 août 2016
Interview vost — Christine Marcandier pour Diacritik