
Nostalgie d'un autre monde
L'OBS
Preuve de l’immense talent d’Ottessa Moshfegh, déjà maîtresse du noir, qui maîtrise aussi le gothique.
Le Figaro Littéraire
Ottessa Moshfegh déploie son talent singulier, inquiétant. Ses contes noirs parlent d’un pays déliquescent, aux aspirations cabossées. La médiocrité imprègne tout.
Les Inrockuptibles
Prof sous coke, voyeur esseulé, dermato obsessionnel : Moshfegh nous plonge dans un aquarium de fêlé-es attachant-es pour dire la vie qui ronge et la beauté des marges.
Libération
Ottessa Moshfegh décrit hardiment des êtres écrasés de complexes et de pulsions.
Page des Libraires
La finesse de ses observations, son style vif et sans fioritures, la justesse de ses personnages démontrent qu’Ottessa Moshfegh maîtrise à la perfection le genre exigeant de la nouvelle et l’art de la chute, souvent vertigineuse.
Les Echos
Ses quinze récits sont frappés du sceau de l'originalité et explorent avec une plume acérée un monde de loosers aux passions ébréchées, où le mot « solitude » a remplacé le mot « amour ».
L'Opinion
C’est sardonique, provocant, pessimiste, et en même temps indulgent : les humains sont ainsi, pourquoi leur en vouloir ?