Après avoir commis « la seule faute impardonnable du début du XXIe siècle » – exprimer publiquement une opinion impopulaire –, Adeline, célèbre illustratrice de bande dessinée, devient la cible d’attaques haineuses sur les réseaux sociaux. Ellen, une jeune femme de vingt-deux ans sans histoires, subit le même sort lorsque des photos de ses ébats sexuels avec son petit ami du lycée se propagent de manière virale sur la toile. Dans le San Francisco de 2013, elles ont
fait l’erreur d’être des femmes au sein d’une société qui déteste les femmes.
Dans Je hais Internet, Jarett Kobek pose un regard satirique sur une société hyper-connectée, tout acquise au virtuel, intrusive. Il s’en prend à l’idéal libertaire aux origines d’Internet, et se demande comment les géants du net ont réussi à générer des milliards de dollarsen exploitant la créativité d’internautes impuissants, sans rencontrer d’opposition. À l’ère du sacre des réseaux sociaux, un récit jubilatoire et salutaire.
fait l’erreur d’être des femmes au sein d’une société qui déteste les femmes.
Dans Je hais Internet, Jarett Kobek pose un regard satirique sur une société hyper-connectée, tout acquise au virtuel, intrusive. Il s’en prend à l’idéal libertaire aux origines d’Internet, et se demande comment les géants du net ont réussi à générer des milliards de dollarsen exploitant la créativité d’internautes impuissants, sans rencontrer d’opposition. À l’ère du sacre des réseaux sociaux, un récit jubilatoire et salutaire.