Henri Laporte (1895-1982) fut l'un de ces jeunes « poilus » anonymes qui partirent, par millions, refouler les « Tudesques ». Il rêvait de cavalerie : ce furent les tranchées d'Argonne, le front de Champagne, Verdun et la Somme. C'est bien des années plus tard qu'il se décida à transcrire, pour lui-même et pour sa famille, ses carnets de guerre.
Ce Journal, document inédit, constitue un témoignage direct et précis, sans amertume ni forfanterie, sur la violence des combats de 14-18. Il illustre aussi l'esprit d'une époque disparue, une sorte d'innocence noble où se mêlaient l'abnégation, le goût de vivre et la fraternité.
Ce Journal, document inédit, constitue un témoignage direct et précis, sans amertume ni forfanterie, sur la violence des combats de 14-18. Il illustre aussi l'esprit d'une époque disparue, une sorte d'innocence noble où se mêlaient l'abnégation, le goût de vivre et la fraternité.