" Si vous aimez Faulkner et les westerns, les tartes meringuées et les passions orageuses, les coups de théâtre et les siestes alanguies, si vous voulez " lire dangereusement ", entrez dans la Maison aux esprits, elle mérite ses quatre étoiles et vous en montrera bien davantage. "
(Gabrielle Rolin, Le Matin)
" Mélange d'insolence, de tendresse, pudeur et comique irrésistible. Ce ton que l'on retrouve à toutes les pages du formidable roman qui s'appelle la Maison aux esprits... Il faut y pénétrer... pour n'en plus ressortir. " (Pierrette Rosset, Elle)
" Depuis l'inoubliable lecture d'Autant en emporte le vent, c'est certainement le récit d'Isabel Allende que j'aime le plus. "
(Christine Arnothy, Le Parisien)
Isabel Allende, née en 1942 au Chili, dut s'exiler après le coup d'Etat militaire. A Caracas, où elle s'installa alors, elle collabora à divers journaux et revues. En 1981, elle n'y tint plus et plaça une feuille blanche sur sa machine à écrire: " La Maison aux esprits a été ma façon d'essayer de sécher les larmes dont j'étais remplie, de donner corps à la douleur pour en faire ma prisonnière. Ce faisant, j'ai attribué à l'écriture le pouvoir de ressusciter les morts, de renouer avec les disparus, de reconstruire un monde perdu. " Le résultat fut un best-seller mondial, bientôt suivi de quatre autres. " J'aime écrire, dit encore Isabel Allende. J'écris parce que j'en ai envie, que j'y trouve un très vif plaisir... et sans doute parce qu'aussi longtemps qu'il y aura du rire, des larmes et de l'amour, il ne me manquera pas d'histoires à raconter. ".
(Gabrielle Rolin, Le Matin)
" Mélange d'insolence, de tendresse, pudeur et comique irrésistible. Ce ton que l'on retrouve à toutes les pages du formidable roman qui s'appelle la Maison aux esprits... Il faut y pénétrer... pour n'en plus ressortir. " (Pierrette Rosset, Elle)
" Depuis l'inoubliable lecture d'Autant en emporte le vent, c'est certainement le récit d'Isabel Allende que j'aime le plus. "
(Christine Arnothy, Le Parisien)
Isabel Allende, née en 1942 au Chili, dut s'exiler après le coup d'Etat militaire. A Caracas, où elle s'installa alors, elle collabora à divers journaux et revues. En 1981, elle n'y tint plus et plaça une feuille blanche sur sa machine à écrire: " La Maison aux esprits a été ma façon d'essayer de sécher les larmes dont j'étais remplie, de donner corps à la douleur pour en faire ma prisonnière. Ce faisant, j'ai attribué à l'écriture le pouvoir de ressusciter les morts, de renouer avec les disparus, de reconstruire un monde perdu. " Le résultat fut un best-seller mondial, bientôt suivi de quatre autres. " J'aime écrire, dit encore Isabel Allende. J'écris parce que j'en ai envie, que j'y trouve un très vif plaisir... et sans doute parce qu'aussi longtemps qu'il y aura du rire, des larmes et de l'amour, il ne me manquera pas d'histoires à raconter. ".