Pourquoi le père Noël ne sauverait-il pas un espion, une nuit de 24 décembre ?
Est-il possible que, parti de rien, un ambitieux forcené, porté au sommet des honneurs, finisse en quelques secondes moins que poussière ?
Qui peut expliquer qu'un enfant ait été miraculeusement donné à Joseph et Marie, humbles Vaudois, la nuit de la Nativité 1856 ?
Le caramel ne serait-il pas de l'or, un instant méprisé, prêt à reprendre son pesant et sa valeur avec l'aide de Cupidon ?
Comment percer le secret de ce que nous nommons, faute d'initiation ésotérique, les hasards exagérés, qui mettent soudain en présence deux guerriers, anciens ennemis, ou deux maris d'une même épouse ?
Les apparences se moquent des humains, avides de logique, de cohérence, de rationnel, en les entraînant, sous la conduite du romancier, médium de l'imaginaire, dans des arcanes inaccessibles à la transparence.