Imaginez une ville entièrement digitalisée à l’aide de systèmes intelligents de surveillance vidéo, de contrôles automatisés de la consommation d’énergie et de la pollution, d’un réseau Internet à haut débit et de véhicules autonomes, au service de la décision publique et du bien-être de la population. Nous y sommes bientôt, grâce à l’intelligence artificielle (IA).
Ce livre, après en avoir brossé l’histoire, parcourt ses développements actuels et futurs, dans un état des lieux mondial fascinant. Bien loin des robots rebelles que la science-fiction imagine, les cas présentés sont à la fois bénéfiques et proches de nous : la suggestion de films de Netflix, les chatbots commerciaux et les assistants virtuels augmentant notre confort ; demain les imprimantes 4D, les exosquelettes et les organes créés ex nihilo.
Karim Massimov, fort de son expertise internationale, trace un modèle de développement global, durable, souhaitable, et révèle l’essence même des technologies numériques, altruistes et créatrices d’opportunités.
Si l’IA a le potentiel de résoudre des problèmes qui touchent l’humanité entière, elle pourrait également conduire à l’anéantissement. D’où cette vigilance : il faut accompagner la marche du progrès scientifique, tout en construisant dès à présent les outils permettant de se protéger contre les risques liés à la technologie, en commençant par établir un arsenal juridique à un niveau international.
Le règne de l’IA a déjà commencé. Il améliorera le monde et ce, plus rapidement qu’on ne le pense.
Karim Massimov a été Premier ministre et ministre de l’Économie du Kazakhstan. Docteur en économie, polyglotte, il a aussi travaillé dans la banque. Son action en tant que fonctionnaire a été déterminante dans le développement de la capitale Noursoultan (ancienne Astana), ville dynamique, innovante et tournée vers l’avenir.
Ce livre, après en avoir brossé l’histoire, parcourt ses développements actuels et futurs, dans un état des lieux mondial fascinant. Bien loin des robots rebelles que la science-fiction imagine, les cas présentés sont à la fois bénéfiques et proches de nous : la suggestion de films de Netflix, les chatbots commerciaux et les assistants virtuels augmentant notre confort ; demain les imprimantes 4D, les exosquelettes et les organes créés ex nihilo.
Karim Massimov, fort de son expertise internationale, trace un modèle de développement global, durable, souhaitable, et révèle l’essence même des technologies numériques, altruistes et créatrices d’opportunités.
Si l’IA a le potentiel de résoudre des problèmes qui touchent l’humanité entière, elle pourrait également conduire à l’anéantissement. D’où cette vigilance : il faut accompagner la marche du progrès scientifique, tout en construisant dès à présent les outils permettant de se protéger contre les risques liés à la technologie, en commençant par établir un arsenal juridique à un niveau international.
Le règne de l’IA a déjà commencé. Il améliorera le monde et ce, plus rapidement qu’on ne le pense.
Karim Massimov a été Premier ministre et ministre de l’Économie du Kazakhstan. Docteur en économie, polyglotte, il a aussi travaillé dans la banque. Son action en tant que fonctionnaire a été déterminante dans le développement de la capitale Noursoultan (ancienne Astana), ville dynamique, innovante et tournée vers l’avenir.