Dans la « Métaphysique de l'amour sexuel », tirée du Monde comme volonté et comme représentation, Arthur Schopenhauer (1788-1860) considère l'amour comme une ruse suprême de la volonté de vivre (Wille zum leben), qui se sert de l'individu pour perpétuer l'espèce. Avec un malin plaisir, le philosophe détruit une à une les illusions de la passion amoureuse.
Bien avant Freud, le misanthrope amateur de jolies femmes insiste sur la puissante force motrice de la sexualité.
Bien avant Freud, le misanthrope amateur de jolies femmes insiste sur la puissante force motrice de la sexualité.