D’abord grand reporter pour France Dimanche, Gérard de Villiers s’est rapidement mis à enquêter pour son propre compte. Ou plutôt pour celui de Son Altesse Sérénissime le Prince Malko, descendant d’une très noble lignée et mieux connu sous le simple acronyme de SAS. Tout droit sorti de son imagination, c’est pourtant bien Malko qui entraîne l’auteur dans tous les points chauds du globe. C’est qu’en plus d’être un travailleur acharné Gérard de Villiers respecte toujours une terrible exigence : avoir tâté de la réalité qu’il évoque. Qu’il s’agisse des couloirs silencieux d’un service secret ou des montagnes de Tora-Bora.
Pour le suivre, mieux vaut avoir du souffle.
Heureusement qu’entre deux expéditions il s’accorde à l’occasion de brefs repos à Saint-Tropez ou à Marbella, dans la villa de l’une au l’autre de ces célébrités qu’il traquait autrefois pour la presse « people » et qui sont devenues ses amis.
Mais c’est pour mieux repartir ensuite. Dernièrement encore on signalait sa présence en Irak Il livre dans ces Mémoires quelques clefs de ses surprenantes méthodes, et une foule de souvenirs et d’anecdotes plus surprenants encore. Attachez vos ceintures.
Pour le suivre, mieux vaut avoir du souffle.
Heureusement qu’entre deux expéditions il s’accorde à l’occasion de brefs repos à Saint-Tropez ou à Marbella, dans la villa de l’une au l’autre de ces célébrités qu’il traquait autrefois pour la presse « people » et qui sont devenues ses amis.
Mais c’est pour mieux repartir ensuite. Dernièrement encore on signalait sa présence en Irak Il livre dans ces Mémoires quelques clefs de ses surprenantes méthodes, et une foule de souvenirs et d’anecdotes plus surprenants encore. Attachez vos ceintures.