Toutes les vérités sont-elles bonnes à dire ? Pourquoi ne dois-je pas mentir ?
En 1796, Constant, lecteur attentif de Kant, s’en prend au caractère inconditionnel du devoir posé par le philosophe allemand : plutôt qu’un devoir de vérité, il revendique un devoir de bienveillance, qui justifierait un droit de mentir.
Kant répond l’année suivante par un opuscule : Sur un prétendu droit de mentir.
Ainsi naît la célèbre controverse, dont les textes sont ici rassemblés.
Édition établie par Jules Barni.
Postface par Cyril Morana.
En 1796, Constant, lecteur attentif de Kant, s’en prend au caractère inconditionnel du devoir posé par le philosophe allemand : plutôt qu’un devoir de vérité, il revendique un devoir de bienveillance, qui justifierait un droit de mentir.
Kant répond l’année suivante par un opuscule : Sur un prétendu droit de mentir.
Ainsi naît la célèbre controverse, dont les textes sont ici rassemblés.
Édition établie par Jules Barni.
Postface par Cyril Morana.