II est certainement l'un des comédiens les plus discrets de notre temps. Depuis un demi-siècle, il oeuvre aussi bien au théâtre, au cinéma, à la télévision, à la radio que sur de petites scènes intimes où il donne sa voix si particulière aux plus grands textes qui l'habitent. Il peint, aussi.
Pour la première fois, Michael Lonsdale ouvre sa porte. Il rend visite à ses parents, à Marcel Arland dont il est le neveu, à Tania Balachova, son professeur d'art dramatique, aux grands créateurs qu'il a servis, Beckett, Duras, à de grands metteurs en scène comme Jean-Marie Serreau ou Claude Régy. Visites à tous les genres, du théâtre musical à l'art de la lecture, et aux grands moments de cinéma. Visites à son panthéon d'écrivains - sur lequel règne Virginia Woolf -, et de peintres, avec Rembrandt en majesté. Visites aux hommes de foi qui l'ont accompagné, aux êtres chers qui l'ont entouré, aux lieux chargés d'âmes et d'émerveillements. Visite à soi-même.
Figure insolite et secrète de notre paysage artistique, l'homme et le comédien témoignent ici d'un parcours spirituel et d'une certaine vision du monde, ouverte, attentive au détail et à la poésie du moment.
De mère française et de père anglais, Michael Lonsdale a vécu son enfance entre Londres et le Maroc - où il découvrira le cinéma - avant de s'installer définitivement à Paris. Son parcours de comédien au théâtre passe par Comédie de Beckett, L'Amante anglaise de Marguerite Duras, et au cinéma par Snobs, de Jean-Pierre Mocky, Le Procès d'Orson Welles, Baisers volés de François Truffaut, India Song de Marguerite Duras, Une sale histoire de Jean Eustache, Moonraker de Lewis Gilbert ou encore Le Nom de la Rose de Jean-Jacques Annaud.
Michael Lonsdale a publié Oraisons en 2000 aux éditions Actes Sud.
Pour la première fois, Michael Lonsdale ouvre sa porte. Il rend visite à ses parents, à Marcel Arland dont il est le neveu, à Tania Balachova, son professeur d'art dramatique, aux grands créateurs qu'il a servis, Beckett, Duras, à de grands metteurs en scène comme Jean-Marie Serreau ou Claude Régy. Visites à tous les genres, du théâtre musical à l'art de la lecture, et aux grands moments de cinéma. Visites à son panthéon d'écrivains - sur lequel règne Virginia Woolf -, et de peintres, avec Rembrandt en majesté. Visites aux hommes de foi qui l'ont accompagné, aux êtres chers qui l'ont entouré, aux lieux chargés d'âmes et d'émerveillements. Visite à soi-même.
Figure insolite et secrète de notre paysage artistique, l'homme et le comédien témoignent ici d'un parcours spirituel et d'une certaine vision du monde, ouverte, attentive au détail et à la poésie du moment.
De mère française et de père anglais, Michael Lonsdale a vécu son enfance entre Londres et le Maroc - où il découvrira le cinéma - avant de s'installer définitivement à Paris. Son parcours de comédien au théâtre passe par Comédie de Beckett, L'Amante anglaise de Marguerite Duras, et au cinéma par Snobs, de Jean-Pierre Mocky, Le Procès d'Orson Welles, Baisers volés de François Truffaut, India Song de Marguerite Duras, Une sale histoire de Jean Eustache, Moonraker de Lewis Gilbert ou encore Le Nom de la Rose de Jean-Jacques Annaud.
Michael Lonsdale a publié Oraisons en 2000 aux éditions Actes Sud.