
Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne
En cette rentrée littéraire 2016, Kaoutar Harchi signe un brillant essai, Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne, sur la question de la valeur littéraire, basé sur la vie et l'oeuvre de cinq auteurs francophones Algériens : Kateb Yacine, Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Kamel Daoud et Boualem Sansal.
Elle révèle qu’en plus de ne s’obtenir qu’au prix d’authentiques épreuves, la reconnaissance littéraire accordée aux écrivains étrangers n’est que rarement pleine et entière. Car si la qualité du style importe, d’autres critères, d’ordre extra-littéraire, jouent un rôle important.
LIBRAIRIE MOLLAT , 9 septembre 2016
FRANCE CULTURE, Le Petit Salon, Lucile Commeaux - 21 octobre 2016
FRANCE CULTURE , La Suite dans les idées, Sylvain Bourmeau - 17 septembre 2016
TV5 MONDE #MOE- 5 auteurs algériens dont la reconnaissance n'a jamais été pleine et entière (11 septembre 2016)
LE MONDE DES LIVRES, Gladys Marivat, 1er septembre 2016 :
La romancière sociologue "analyse ce que la reconnaissance accordée aux écrivains étrangers francophones ou "de banlieue" dit de la psyché sociale française."
LE MONDE, Eric Loret, 17 août 2016
"La sociologue Kaoutar Harchi, enfin, avec son essai Je n'ai qu'une langue, ce n'est pas la mienne (Pauvert), examine la réception française de cinq écrivains algériens contemporains, entre fétichisation et instrumentalisation."
Kaoutar Harchi est l'invitée des Matins d'été sur France Culture, pour parler de la place des Français de culte ou de culture musulmane dans le débat public, 19 août 2016
Présentation du livre pour My BOOX